C'est une histoire idéale à lire avant d'aller se coucher. On fait la connaissance de Didoune et de tous ses doudous bien installés avec lui dans son lit. Notre petit bonhomme fait l'inventaire de ses petits compagnons dans son lit. Vite, tout le monde se cache sous la couette. Il faut que personne ne soit visible.
Quand Papa arrive, pas une oreille ne dépasse. Bien évidemment, on joue à se cacher sous les couvertures jusqu'à ce que Papa nous trouve, jeu qu'affectionne beaucoup les tout-petits.
Andrée Prigent utilise des techniques peu classiques pour illustrer ses albums notamment la linogravure, technique qu'elle a utilisé pour Gérard le bousier dont elle vient de publier la suite des aventures chez Kaleidocope. Elle est également la maman de Tibili, un petit garçon africain qui ne veut pas aller à l'école chez Magnard. Le fait de diversifier les approches au niveau de l'illustration séduira parents et enfants. C'est une bonne chose de faire découvrir, même très tôt, des approches de dessins différentes, cela forme leur gout et évite qu'ils développent des a-priori.
Dès 18 mois.
Didoune
d'Andrée Prigent
Didier jeunesse.
2016
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